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Par Poséidôn ! la fille ! « L'Assemblée des femmes » est écrite et représentée en 392 avant Jésus-Christ, à une époque où le siècle de Périclès n'est plus qu'un souvenir. Afin qu’elles n’aient par les prémices des jeunes gens. Tu as nommé Aphroditè. Tu étais couché chaudement, et dans tes couvertures, quand je t’ai laissé, mon cher mari. Mes sueurs et mes épargnes, je ne vais pas à la légère les risquer si sottement, avant de m’être assuré comment va toute cette affaire. Et en effet, malheureux, pourquoi y en aurait-il ? Voici, pour toi, le moment de tenir en éveil ton esprit avisé et tes sentiments démocratiques, afin de venir en aide à tes amies. Oui, par le jour qui va naître ! Le travail suivant consiste en une analyse détaillée et commentée de la pièce de théâtre : L'assemblée des femmes du poète comique Aristophane, présenté dans le cadre d'un cours d'anthropologie classique grecque, à la faculté de philosophie de l'Université Laval. Plus de vols ; plus de jalousie à l’égard du prochain ; plus de nudité ; plus de misère ; plus d’injures ; plus de gages pris sur le débiteur. Et je n’irai plus au tribunal, mais ma femme ? Donne-moi la couronne, je veux parler de nouveau ; je crois avoir maintenant médité mon affaire à merveille. Mais, dis-moi donc, les hommes qui se portent à des voies de fait sur les autres et qui, au sortir d’un bon repas, les maltraitent, comment paieront-ils ? quel tort m’a fait ce maudit coin de monnaie ! Non, pour l’instant ; laisse-moi d’abord aller à la selle, afin de me redonner du cœur. Sur ce fonds commun, c’est nous qui vous nourrirons : à nous la gestion, le contrôle des dépenses, et la mise au point du Plan3. si tu dures plus que la lumière des cires ; car je pense que tu vas tomber morte tout de suite, en entrant. Trafiquant des affaires publiques, chacun considère le gain particulier qu’il en tirera : et la chose commune roule comme Æsimos. Pourquoi est-ce en si bon ordre ? Vous pouvez paramétrer vos choix pour accepter les cookies ou non. Que ce que j’indiquerai soit le meilleur, j’en ai la confiance. je suis un homme bien misérable d’être emprisonné avec de pareilles bêtes. dis-moi. XOTES SUR L' « ASSEMBLÉE DES FEMMES » D'ARISTOPHANE. Non, mais je suis sorti, vêtu de la robe safranée dont s’habille ma femme. mais ta brusquerie m’a interrompue. Gérès arrive ayant une tunique fine et une élégante chaussure ; il ricane avec un autre jeune homme : sa chaussure est par terre et son manteau rejeté. Hélas ! Non, de par Zeus ! et dès le matin. Tout cela, tu ne l’as pas sottement dit, cependant, si Épikouros ou Leukolophas m’appelait son papa, ce me serait très désagréable à entendre. Talbot, 1897, tome 2.djvu/3, Dernière modification le 16 septembre 2019, à 14:57, Les Ekklèsiazouses ou l’Assemblée des Femmes, https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=L’Assemblée_des_femmes_(trad._Eugène_Talbot)&oldid=9890956, licence Creative Commons Attribution-partage dans les mêmes conditions. Livraison en 48 h. Livraison en France métropolitaine à 0,01 € à partir de … À la jouissance : et voilà pour ce qui te regarde. Il me semble avoir trouvé juste. Qu’y a-t-il ? L’Assemblée des femmes est une comédie grecque antique d’Aristophane écrite vers 396 av. Ce document a été mis à jour le 06/12/2007 On ira au fonds commun se faire donner un autre vêtement meilleur que le premier. Tu plaisantes : je t’entraînerai vers mes couvertures. En étudiant de près, il y a dix ans, Y Assemblée des Femmes d'Aristophane, j'avais mis en marge de mon exemplaire une série de notes sur cette pièce, dont, jusqu'aujourd'hui, le texte est assez mal fixé. Naguère ne jurions-nous pas tous que l’État retirerait cinq cents talents du quarantième, imaginé par Euripidès ? L’application du nouveau régime donne lieu à une suite de scènes des plus gaies dont la conclusion, que le poète s’abstient d’indiquer, saute aux yeux d’elle-même, marquée au coin de l’esprit et de la raison. j’irais déposer mon bien ! l’homme ! Souvent tu m’as fait lever pour aller à l’assemblée, de bonne heure, presque à la nuit, avec ton chant matinal. Texte établi par Victor Coulon et traduit par Van Daele (1930) Paris, Impr. Que deviendrai-je ? Comment n’avoir pas souci d’une femme dans cette situation-là, mon cher mari ? Ce n’est plus la même chose, mon ami ; nous gouvernions alors, maintenant ce sont les femmes. » Lui, alors, criant et jetant les yeux autour de lui : « Que devais-je donc faire ? Suis-je assez malheureux ? Est-ce qu’une femme ne peut être cajolée sans parfum ? C’est ton affaire de nous indiquer comment nous devons agir dans tes intérêts et en pleine obéissance. Chante tant que tu voudras et avance le cou comme une chatte, personne n’ira vers toi avant de venir à moi. Tu ne trouves pas ce que tu cherches ? si tu étais venu dès le second chant du coq. Jambes en l’air. En tirant les passagers, vous les mettriez en pièces. Tu ne songes donc pas à déposer ton avoir ? Non, par Aphroditè, qui m’a favorisée par le sort ! Oui, par Apollôn ! Les femmes arrivent, après avoir déjà repris leur costume. Évoé, évoé, évoé, évoé ! Elle s’inquiète du retard de ses amies au rendez-vous fixé. Car enfin, je le demande, quelle chose est-ce que cela ? Là, debout, près de la statue de Harmodios, je tirerai tous les noms, jusqu’à ce que celui dont le nom sortira, sache à quelle lettre il a la chance de dîner. Non, par les deux Déesses ! Elle n’est pas sortie pour rien faire d’honnête. Ces informations personnelles peuvent être utilisées pour mesurer la performance publicitaire et du contenu ; en apprendre plus sur votre utilisation du site ; ou pour vous permettre d'interagir avec les réseaux sociaux. C’est vraiment ici le cas du décret de Kannônos : il faut que je me coupe en deux pour baiser l’une et l’autre. Ah ! Y a-t-il quelqu’un des hommes qui nous suive ? Femmes, le succès a favorisé l’entreprise que nous avions projetée. dans l’assemblée du peuple, font passer une loi qui les investit du gouvernement, et établissent la communauté des biens. Verse-moi d’un vin pur ; il inspire la gaieté toute la nuit, quand on a su choisir celui qui a le meilleur bouquet. L’Assemblée des Femmes Il fait nuit, l’aurore n’est pas encore là ; quelqu’un sort sur le pas de sa porte, avec précaution : c’est Praxagora, femme de l’Athénien Blépyros, habillée des vêtements de son mari. J. Après sa capitulation dans la guerre du Péloponnèse, la démocratie athénienne est affaiblie et en crise. Mais tu chies donc des cordes ! Je vais les transporter, dans l’intérêt de la ville, sur l’Agora, conformément aux lois décrétées. « Broyer de l’ail avec du jus de silphion, en y mêlant du tithymale de Lakonie, et t’en frotter les paupières le soir, » voilà ce que je lui aurais dit, si je m’étais trouvé là. Hâtez-vous toutes ; prenez en haine votre barbe au menton. Pas même, j’en atteste Zeus ! c’est un décret démocratique ; et ce sera une grande confusion pour les fiérots et les porteurs de bagues, lorsqu’un mal-chaussé lui dira : « Cède le pas tout de suite, et attends, pendant que je fais la chose, que je t’accorde le second tour. Ainsi, à présent, le nez de Lysikratès aura des aspirations aussi fières que celui des beaux jeunes gens. Je suis arrivé trop tard, et j’ai honte, de par Zeus ! Viens ; ceins la couronne : l’affaire est en train. Rien, sinon que les Prytanes ont mis en délibération les moyens de sauver l’État. Et les vêtements ? Si quelqu’un voit une fillette qui lui plaise et s’il veut en jouir, il lui sera permis de prendre sur ce qu’il a pour lui faire un présent, et de participer aux biens de la communauté, tout en couchant avec elle. tu m’as rendu service, ma douce amie, en me débarrassant de cette vieille : aussi, en retour de ce bienfait, je te paierai, ce soir, un grand et gros tribut. J’en prends Zeus à témoin, il me faut quelque machination pour garder le bien que j’ai, et cependant avoir ma part de la cuisine commune. Or ce qui est prescrit doit être fait par l’homme de bon sens, et avant tout. - [1] (1950) T. 5. Pour moi, ma très chère, j’ai eu grand’peine à m’enfuir en me glissant. Mais ils étaient en minorité. Toi, tu n’auras de souci, lorsque l’ombre du cadran sera de dix pieds, que d’aller, gros et gras, vers le dîner. Ce qui me fait me lever le matin, c’est l’indécence. Que dis-je ? Mais comment, en vivant ainsi, chacun de nous pourra-t-il reconnaître ses enfants ? Non, de par Zeus ! Je vous la recommande !! Il faut faire tout son possible pour savoir servir l’État, quand on est des bien pensants. Et moi, peu s’en faut, plus belle que celle d’Épikratès. » Que peut-il être arrivé ? La nuit, tous les endroits sont bons. Cependant voici l’aube : l’assemblée va se tenir dans un instant, et il nous faut prendre place, en dépit de Phyromakhos, qui, s’il vous en souvient, disait de nous : « Les femmes doivent avoir des sièges séparés et à l’écart. Ce n’est pas moi, c’est la loi qui t’entraîne. C'est une des dernières pièces d'Aristophane, probablement inférieure à Lysistrata, et la deuxième pièce dite « féministe » du poète grec qui nous soit restée. Moi, d’abord, j’ai rendu mes aisselles plus hérissées qu’un taillis, comme c’était convenu. Du mardi au samedi à 20h30, le dimanche à 16h30 (relâche exceptionnelle le dimanche 7 avril). Et aussitôt chacun d’appeler Euripidès un homme d’or. Consulte tous nos documents en illimité ! L'ASSEMBLÉE DES FEMMES C'est un livre recommandé par Elisabeth Badinter sur le plateau de l'émission littéraire « La Grande Librairie ». Les Tragiques, première partie du vers 43 au vers 61 - Agrippa d'Aubigné (1616), Conditions générales & politique de confidentialité. Ploutos. Et ce ne sera plus à moi de gémir dès la pointe du jour? Victoire ! Que le purificateur porte le chat à la ronde. Où t’es-tu donc enfuie silencieusement dès l’aurore, en prenant mon manteau ? Les hommes ne boivent donc pas à l’assemblée ? Et que le sort ne me soit point préjudiciable, s’il nous a choisis les premiers. J’y ai couru comme j’étais. Chacun venait, apportant de quoi boire dans une petite outre, avec du pain, deux oignons et trois olives. Et moi, je ne puis souffrir celles du tien : jamais je ne m’y déciderai, jamais. Pour fournir l’argent, rien de plus entendu qu’une femme. Mais que les spectateurs veuillent du nouveau et qu’ils ne soient pas trop attachés aux choses antiques, voilà ce que je redoute avant tout. Celui qui y reçoit de l’argent ne tarit pas d’éloges ; mais celui qui n’en reçoit pas juge dignes de mort ceux qui cherchent dans l’assemblée un moyen de trafiquer. Eh quoi ! Talbot, 1897, tome 2.djvu, Aristophane, trad. Cette phrase montre subtilement la prévention des paysans et non des citadins face aux changements brusques et radicaux qui peuvent parfois advenir dans les assemblées démocratiques d'Athènes. Toi, cependant, dispose avec soin la toilette de celles-ci ; moi, je veux me glisser à l’intérieur, avant que mon mari me voie, et remettre son manteau où je l’ai pris, ainsi que les autres objets que j’ai emportés. Penses-tu qu’un citoyen, ayant le sens commun, fasse son apport ? En restant ici, nous pensons que tu le trouveras. Cause avec cet homme-ci et disparais. Apporte les rayons de miel ; place auprès les rameaux d’olivier ; prends aussi les deux trépieds et le lékythe. Toi, vraiment ; et pas un autre homme. Au nom des dieux, ne fais pas une chose qui m’ôterait mon gagne-pain. J’ai fait rendre ce décret. et toute cette foule-ci. N’ont-elles pas dérobé les barbes postiches, qu’on avait promis d’avoir, ou leur a-t-il été difficile de voler en secret les manteaux de leurs maris ? Il faut que je lie ce paquet. En effet, on avait sous les yeux une assemblée de visages excessivement blancs. Un espoir de salut se ranime, mais il est restreint. Amie, je veux me pâmer sur ton sein et sur tes rondeurs intimes. Est-ce moi que tu cherches ? Car les jeunes filles n’ont pas la science qu’ont les femmes mûres ; et pas une ne saurait plus que moi chérir celui des amants avec qui je serais : elle s’envolerait vers un autre. Viens ici, marmite. Je dis qu’il nous faut remettre le gouvernement aux mains des femmes. Si vous faites prévaloir cette loi, vous remplirez d’Œdipous la terre entière. Malheureuse, où as-tu l’esprit ? Ton fard et ta céruse ? C’est à la façon ionienne, pauvre petite, que cela te démange ; et tu m’as l’air de pratiquer le « Lambda » à la mode des Lesbiens. C’est à elles, en effet, que nous confions, dans nos maisons, la gestion et la dépense. [...], [...] Il explique cette foule par les avis des prytanes. Je ne saurais le dire. Bientôt on va servir lépas, salaisons, poissons cartilagineux, têtes de squale à la sauce piquante, silphion assaisonné au miel, grives, merles, pigeons, crêtes de coq grillées, poules d’eau, colombes, lièvres au vin cuit, tranches de volailles avec les ailes. « Lorsque nous délibérions sur la question de l’alliance, on disait que, si elle n’avait pas lieu, c’en était fait de la ville. [...]. Et, en attendant, tu viens t’asseoir à la table ? c’est parfait. Des mains des porteurs j’enlèverai les plats. Avez-vous les barbes que je vous ai recommandé à toutes d’avoir pour notre assemblée ? Après lui, le très habile Evæôn s’est avancé nu, à ce qu’il semblait au plus grand nombre ; mais il prétendait, lui, qu’il avait un manteau. Qu’est-ce que ce peut être, sinon de se préparer à déposer leurs biens ? Les Athéniennes, sous l'influence de Praxagora, s'introduisent déguisées dans l'assemblée du peuple, font passer une loi qui les investit du gouvernement, et établissent la communauté des biens. Car à quoi bon résister ? Non pas la loi, mais je ne sais quelle Empousa, couverte d’ulcères sanguinolents. Venez donc, le porteur de galettes est là : allons, jouez des mâchoires ! Ajustez vos pieds au mode krètique, et toi, marche en avant. Moi, le bâton que j’ai apporté est celui de Lamias, dérobé pendant son sommeil. que tu le veuilles ou non. Mais nous ne nous occupons pas, pour le moment, des sexagénaires : nous les renvoyons à une autre époque : nous n’avons affaire qu’à celles qui n’ont pas la vingtaine. J’en prends à témoin les deux Déesses… ». Oui, tu viens de désigner nettement un heureux homme. Où veux-tu aller, toi qui n’as point apporté ton avoir ? Hé, mon brave homme, laisse parler ta femme ! Voilà qui est par nous imaginé à merveille ; mais de quelle manière lèverons-nous les mains, nous n’y avons pas encore songé : car nous sommes habituées à lever les jambes. C’est moi que tu dois suivre de par la loi. Viens ici, viens ici ; accours m’ouvrir cette porte, sinon je tombe et j’expire. Pour ce qui est d’innover, sois sans crainte, vu que la nouveauté nous semble préférable à tout autre gouvernement, ainsi que le dédain des vieilleries. ». Quand vous aurez fait tout cela de votre mieux, attachez vos barbes ; puis, quand vous les aurez soigneusement adaptées, enveloppez-vous des vêtements d’hommes que vous aurez soustraits, et ensuite mettez-vous en marche, appuyées sur vos bâtons, chantant quelque vieille chanson, en imitant la façon des gens de la campagne. Allons, maintenant, relevez vos manteaux ; mettez vite les chaussures lakoniennes, comme vous le voyez faire à vos maris chaque fois qu’ils se rendent à l’assemblée ou qu’ils franchissent la porte. Kypris, pourquoi me frappes-tu de folie pour elle ? Asseyez-vous donc, afin que je vous demande, puisque je vous vois réunies, si vous avez fait ce dont on était d’accord aux Skira. Quant aux petits pots et à la menue vaisselle, laisse-les. Il faut, à présent, que je me rende à l’Agora, afin de recevoir les biens mis en commun ; je vais prendre pour héraut une femme qui ait une bonne voix. Mais ne tente que des choses qui n’aient pas encore été faites ni proposées jusqu’ici. J’omets le reste : suivez mes avis, et vous passerez la vie dans le bonheur. Quoi donc ? Non, de par Zeus ! Mais les plus laids guetteront les plus jolis garçons à l’issue du repas et les observeront dans les endroits publics ; et il ne sera pas permis aux femmes de coucher avec les beaux, avant de s’être mises en liesse avec les laids et les petits. Apporte ici cette cruche, hydriaphore, là. Notre cité a besoin d’un plan habilement conçu. Et moi, fardée de céruse, je suis là, parée de ma robe jaune, sans rien faire, fredonnant à part moi une mélodie, et folâtrant pour recevoir entre mes bras le premier homme qui passera. Pour ma part, je veillerai bien, de par Poséidôn ! Comment, si quelqu’un est condamné par les magistrats à payer quelque chose à un autre, s’acquittera-t-il de cette amende ? Quelle honte ce serait pour nous toutes aux yeux des hommes, si cette affaire était découverte ! Pimido, c'est 20 ans d'expérience dans la rédaction, l'optimisation, l'achat et la vente en ligne de documents. Une femme, une de mes meilleures amies, m’a envoyé chercher cette nuit, prise de mal d’enfant. Aussi bien je vois mes voisins faire leur apport. Est-ce une pompe préparée pour le héraut Hiérôn ? Parce que je fais ce qui est prescrit ? Athéniennes, sous l’influence de Praxagora, s’introduisent déguisées Tout ce qui concerne les affaires de l’État. À quoi bon achèterions-nous des crochets, quand nous pouvons faire descendre cette vieille pour tirer les seaux du puits ? Mais toi, la vieille, te voilà allongée et parfumée pour faire les délices de la Mort. A la suite des travaux de Marcel Détienne et de Jean-Pierre Vernant i1), j'ai entrepris de montrer de façon succincte que le thème de la métis de la femme avait été abondamment illustré dans la littérature grecque, d'Homère à l'aube de l'époque byzantine (2). Si l’on te dépouille, tu feras un présent. (L’AN 373 AVANT J.-C.) C’est à l’utopie communiste que le poète s’en prend cette fois. Je lui ai déjà dit de regarder dans le cul d’un chien. Non, de par Zeus ! On dit, en effet, que les jeunes gens les plus dissolus sont les meilleurs parleurs. Elles ne lui serviraient absolument de rien. Qu’on appelle Antisthénès par tous les moyens ! Dans le tumulte et dans les dangers vous avez été on ne peut plus courageuses. Mais toi, de par Zeus ! car il se trouve qu’elle n’est pas à la maison : elle s’est évadée furtivement, et je crains qu’elle ne fasse quelque équipée. Je dirai néanmoins comment vous sauverez la société et les citoyens. Tu aurais fait du joli si tu avais dit ça à l’assemblée ! Nous n’avons pas, pour le moment, besoin d’un tamis. Et comment une assemblée de sexe féminin aura-t-elle des orateurs ? mais tu es homme, et tu as juré par les deux Déesses : pour le reste, ce que tu as dit était très bien. je vois une lumière qui s’avance : retirons-nous un peu, dans la crainte que ce ne soit quelque homme qui approche par ici. Je ne sais ce que tu dis : il faut que je frappe à cette porte. Je me défendrai avec les hanches ; car jamais je ne me laisserai prendre par le milieu. Mais les assistants ne le permettront pas. Je chante, à part moi, pour Épigénès, mon amant. Pour beaucoup de raisons, j’en prends Apollôn à témoin. Kinésias t’aurait-il par hasard embrené ? L’heure est déjà passée. [...], [...] Une autre scène nous montre une jeune fille se disputant en chantant avec une vielle femme concernant la nouvelle loi qui impose la mise en commun des hommes et des femmes. Aussi connaîtras-tu les desseins actuels, que j’ai formés, à la fête des Skira, avec mes amies. Je les déposerai sur l’Agora. Qu’es-tu venu chercher avec ton flambeau ? Je la vois toujours dirigée par des pervers ; et si l’un d’eux est honnête homme une seule journée, il est pervers durant dix jours. Glykè a fait serment que la dernière venue nous paierait trois kongia de vin et un khœnix de pois. Suis-moi, mon mignon ; fais vite, et ne raisonne pas. Voici bientôt l’aurore, et elle ne paraît pas. Malheureuse, tu dis : « Femmes, » et tu t’adresses à des hommes ! Malheureuse ! Ô peuple heureux, heureuse moi-même, et très heureuse ma maîtresse ; et vous qui êtes devant ces portes ; et vous tous, voisins, habitants du dême, et moi, outre les autres, simple servante, qui ai parfumé ma tête de bonnes essences, j’en atteste Zeus ! Et les urnes pour les suffrages, où les mettras-tu ? Fais avec tes pieds le plus de bruit possible en marchant. Je serais assurément un pauvre sire, et d’un esprit borné. Pourquoi les hommes ne viennent-ils point ? Le fiancé de la jeune fille arrive et l'on assiste à une querelle entre trois vielles femmes et la jeune fille. » Les plus laids suivront les jolis garçons en disant : « Où cours-tu, jeune homme ? Je ne sais ce que tu radotes là. Est-ce celle dont parlait Trasybulos aux Lakoniens ? Chrémès poursuit en décrivant l'arrivée de Praxagora, déguisée et anonyme, à la tribune qui proposa de livrer directement le pouvoir aux femmes, tout en les louangeant et en proposant la mise en commun des biens, de l'argent et du peuple. Venez, rendez-vous vite auprès de la stratège, afin que, selon que le sort vous aura désignés, chacun de vous aille s’asseoir au dîner. Force m’est d’agir ainsi, puisqu’on m’a choisie pour gouverner. Car la prendre sur le fonds commun, ce n’est pas juste. On dit qu’on va vous donner le gouvernement. Quoi qu’il en soit, il faut que je chie. Rien ne se fera plus sous l’impulsion de la pauvreté ; tout appartiendra à tous, pains, salaisons, gâteaux, lænas, vin, couronnes, pois chiches. Ô mon maître, homme heureux, trois fois heureux ! Moi, pendant la marche, je chanterai quelque chanson de table. Aie donc pour tous des paroles affables ; ne dédaigne personne ; mais invite généreusement vieillards, jeunes gens, enfants : le dîner est préparé pour tout le monde… si chacun s’en va chez soi. mais pour administrer. Mais comment nous autres vieux, si nous couchons avec les laides, ne trouverons-nous pas notre instrument en défaut, avant d’en venir où tu dis ? Par Hermès ! Ce moyen, quoique peu agréable aux spectateurs, a cependant je ne sais quoi de divertissant et de comique. Oui, de par Zeus ! ce monstre est encore plus hideux que l’autre. c’est lui-même. Par Aphroditè ! Oui, de par Zeus ! Certainement Antisthénès va faire le sien, lui qui trouverait beaucoup plus convenable de chier pendant plus de trente jours. je suis, de mon côté, dans la même situation : ma femme a disparu, ayant le manteau que je porte ; et ce n’est pas la seule chose qui me tourmente : elle a pris mes chaussures, et je ne puis les retrouver nulle part.
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