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Frederic Lenoir, site officiel. Mais je pense qu’on a, en effet, quitté la religion pour aller vers la spiritualité. En 1986, il entre aux Éditions Fayard comme directeur littéraire[11], poste dont il démissionnera en 1991 pour se consacrer à l'écriture et à la recherche, en tant que chercheur associé à l'EHESS. Et cette représentation – celle du bonheur, ou plus exactement de la « bonne heure » – va m’aider quand j’aurai un pépin. Et donc je me suis dit qu’il fallait que je le lise. Je me disais, à cause de mon enfance, que jamais je ne pourrais séduire une femme venant d’où je viens. En avril 2018, elle a publié On s'était dit rendez-vous dans vingt ans (Éditions Plon), un ouvrage sur les coulisses de la génération Macron. Et je fais la même chose dans bien d’autres domaines : les personnes âgées isolées, le peuple tibétain, les femmes victimes de violences, l’environnement, l’accueil des migrants, etc. L Appel De La Femme Sauvage Ce sont des phrases auxquelles j’ai été confronté petit. Mais comme on l’a dit, dans un deuil, on écrit, on revoit les photos…. Et sa mère l’a accompagné jusqu’à sa mort. Je voudrais prendre un exemple lié à une tragédie : l’histoire d’Etty Hillesum, cette jeune femme néerlandaise qui a été déportée. Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue, écrivain, publie en cette fin d’année un superbe ouvrage reprenant les photos et le récit de son voyage autour du monde. Full Story. Quand j’étais jeune, j’avais beaucoup plus besoin d’action. B. C. : Cela m’est arrivé récemment. Regardez la différence entre l’Europe et les États-Unis. B. C. : Les Américains, en réalité, acceptent toutes les religions, mais ils n’acceptent pas que l’on soit sans religion. B. C. : Je le pense. Voici un entretien que l’on aurait aimé prolonger encore…, Propos recueillis par Anne-Sophie Beauvais, Boris Cyrulnik et Frédéric Lenoir (crédits : Aglaé Bory). F. L. : Mais cette idée existe toujours ! Auteur d'une cinquantaine d'ouvrages, il écrit aussi pour le théâtre et la télévision. C’est aussi quelque chose qu’il faut réparer. – Dieu, livre d’entretiens de Frédéric Lenoir avec Marie Drücker, Robert Laffont, octobre 2011. C’est exactement ce que vient de dire Frédéric. Je me dis que ce sera une autre forme de fragilité, elle sera physique, alors que j’ai connu des fragilités psychiques qui étaient très lourdes. B. C. : Je suis pathologiquement non coléreux. Mon moyen de dépasser mes émotions, c’est d’agir. Spinoza, lui, réconcilie le corps et l’esprit. Et en faisant cela, elle voit les moments heureux et elle continue d’aimer la vie malgré l’horreur qu’elle est en train de vivre. »Par Frédéric Lenoir, philosophe et écrivain. Qui disait que les gens heureux n’ont pas d’histoire ? Je crois évidemment que le bon chemin est celui de l’équilibre. Un de mes amis est parti aux États-Unis et a été accueilli, à Philadelphie, par une famille, dont le père était camionneur. Une régression, parce que l’individu se retrouve bien souvent dans une grande solitude ; mais aussi un progrès, parce que cette situation lui laisse beaucoup plus de liberté pour choisir ce qui fait sens pour lui, plutôt que de subir le sens collectif. Des rencontres extérieures à ma famille aussi. Ça m’a mis très en colère. Je n’ai donc pas peur de la fragilité à venir, de la vieillesse. F. L. : J’en ai pas mal aussi, donc on ne va pas faire une liste exhaustive ! En 1986, il entame à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) une thèse de doctorat en sociologie sur la rencontre du bouddhisme et de l'Occident qu'il obtiendra avec les félicitations du jury à l'unanimité en 1999[10]. À l’occasion de la parution de son album de voyage, rencontre avec un philosophe mystique qui aime tant le Mont-Saint-Michel qu’il en a fait un roman ! Anne-Sophie Beauvais (promo 2001) a été directrice générale de Sciences Po Alumni et rédactrice en chef du magazine Émile. Historien des religions, il … Frédéric Lenoir va sortir un livre sur l’apprentissage de la philosophie par les enfants. Uniquement sur abonnement et tous les 2 mois dans votre boîte aux lettres! Les écrans nous isolent. J’ai commis un petit ouvrage sur le sujet pour essayer de voir comment on peut penser aujourd’hui le lien entre l’homme et l’animal, dans lequel je cite souvent Boris Cyrulnik. Quand on est enfant, on n’a pas le choix, on subit. Les deux cohabitent. F. L. : J’ai vécu à ce moment-là une tristesse et une douleur immenses, surtout que c’était un décès brutal et inattendu. Une fois l’hébétude passée, je me suis dit qu’il fallait que je m’engage, parce que si je me taisais, je me faisais complice. Cette réunion s’est faite avec une trentaine d’amis, des glorieux, des moins glorieux. Soyons conscients de ce qui va mal, mais sachons aussi regarder ce que la vie peut offrir de merveilleux. Mais dans la représentation, elle perdure. J’ai envie de parler avec eux. En revanche, sur certains sujets, je ressens aussi une nécessité de passer à l’acte… comme, par exemple, lorsqu’on dit « les gosses des quartiers sont perdus, ils ont de mauvais résultats scolaires, regardez d’où ils viennent ». Un enfant qui a grandi de manière sécurisante saura mieux affronter les difficultés par les représentations du bonheur qu’il aura eues grâce à son éducation. Je n’ai pas été en colère, mais K.O. Il sera aussi à Crans (VS) pour évoquer son best-seller La puissance de la joie. Quand je parle avec vous, vous êtes coauteur de mon discours, vous hochez la tête, vous souriez… même sans dire un mot, vous participez à mon discours. Tous ces lieux d’enracinement se sont effacés. Sans personne avec qui partager ma souffrance, personne pour me sécuriser, cela va être beaucoup plus difficile de dépasser ce malheur. F. L. : Mon ami André Comte-Sponville a une très belle phrase : « La sagesse, c’est le maximum de lucidité dans le maximum de bonheur. » Il faut faire une distinction entre la douleur et la souffrance : la douleur, c’est objectif (un proche décède, vous ressentez de la douleur) ; mais à la douleur peut s’ajouter la souffrance, c’est-à-dire la représentation psychique qu’on a de la douleur. Donc, oui, il y a eu ces mains tendues, ces rencontres qui m’ont permis de grandir. Je rejoins ce que disait Boris Cyrulnik à l’instant : j’ai eu des frères et sœurs merveilleux. Car il n’y a plus ces nourritures affectives et sensorielles : les blagues, les rires, les accords et désaccords, tout ce qui fait la vie. Questions pratiques sur ma biographie, mes livres et les différentes conférences et interventions dans les médias Je crois que pour beaucoup de ceux qui se sont intéressés au bonheur, comme Spinoza (qui a eu une adolescence très douloureuse), c’était un acte de salut. F. L. : Ma première motivation, au départ de la vie, c’était de trouver un équilibre dans le déséquilibre. Présentation. Il lui faisait des déclarations d’amour, lui témoignait une tendresse infinie. Je rêve encore pour les 50 ans qui viennent à la même chose ! Une lecture bien agréable par les temps qui courent et qui va me pousser à découvrir l'oeuvre plus "sérieuse" de ce philosophe. Maintenant, sur un plan plus personnel, je crois que le chemin intérieur que j’ai parcouru, c’est en fait une acceptation de la fragilité. Frédéric Lenoir est philosophe et sociologue des religions. - ℹ - Biographie : Essayiste et journaliste français (1962- ). Déjà … Cela a été le départ d’un questionnement, et c’est vraiment l’imaginaire et l’intelligence qui m’ont sauvé, parce que j’étais bloqué dans mon corps et mes émotions. Sur le négationnisme non plus, je ne peux pas me taire. Un jour, on nous a demandé de dessiner notre corps dans le noir, en état de relaxation. La dernière modification de cette page a été faite le 13 novembre 2020 à 21:02. Elle ne voulait pas s’attacher à l’autre enfant, c’est-à-dire moi. Et pour moi, c’est à la fois une régression et un progrès. » Comment expliquer ça ? Celui-ci lui a dit : « Le temple est là, l’église est là, la synagogue est là, choisis. Quand j’étais jeune, une femme qui mettait au monde un enfant, quel que soit son milieu social, la précarité de sa situation, était entourée. On est dans un déni de réalité, pour des motivations purement économiques. Et on le voit très bien dans les sociétés traditionnelles : si vous êtes homosexuel, par exemple, c’est parfois la peine de mort ; si vous ne partagez pas les croyances religieuses dominantes, c’est l’exclusion. Avant-propos Aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai toujours été touché par la beauté du monde. Vous continuez à vous nourrir de cette joie et de cet amour. C’est vrai que la douleur peut arriver à tout moment. Des ouvrages qui ont connu un fort succès en librairie. Parce que son parcours est extrêmement touchant, fort. Même quand j’ai fait médecine, on continuait de me dire, parce que je ne touchais pas de bourse et que je travaillais donc en même temps, que je n’y arriverais pas. Fanou Barberan shared a post. On s’entoure de photos, on grave son nom sur une pierre, on écrit aussi pour moins souffrir de la perte. Et quand j’étais enfant, je n’avais que des vieux autour de moi, maintenant je n’ai que des jeunes autour de moi. Il démissionne de son poste de directeur du Monde des religions le 23 octobre 2013[12]. Pour ma part, j’ai eu un père violent et tyrannique, qui m’a donné une injonction paradoxale, c’est-à-dire « sois quelqu’un d’important, dont je sois fier, mais surtout ne me dépasse pas ». Les Américains, c’est le contraire… tout est beau, « amazing », comme ils disent. Et quand je piquais au bistouri, les animaux criaient, alors j’arrêtais tout. B. C. : Pour moi, ce n’est pas seulement un lien, c’est une part de la condition humaine qu’on partage avec les animaux, c’est une parenté. Et donc sur la cause animale qui me tient à cœur, j’ai écrit un livre, j’ai créé une association, je milite pour essayer d’avoir un impact sur le réel plutôt que de le subir. Peut-on le lui reprocher? Et à 70 ans, c’est vrai que commencent les problèmes de santé, qu’arrive la perte de proches, etc. Ce sont les bouquins, la tête pleine de souvenirs, de rêves, etc. Et si on laisse la mère seule avec son malheur, il y aura une forte probabilité que l’enfant interprète mal les coups de la vie. Je voulais aussi, jeune, être au bord de la mer. Johanna, archéologue médiéviste, tente d'y établir la vérité sur les origines controversées du culte de la sainte. Et là-dessus, je pense que la raison joue un rôle. Mon chien, lui, adore Lacan. Et avec la vieillesse, je suis de plus en plus charmé par les enfants. Frédéric Lenoir, né le 3 juin 1962 à Madagascar, est un sociologue, écrivain et conférencier français, docteur de l'École des hautes études en sciences sociales. Ma femme dit que je suis un « narapoïaque » : les paranoïaques sont ceux qui pensent que tout le monde leur veut du mal, moi je pense que tout le monde me veut du bien ! Pour la plupart des hommes, le bonheur ne devient concret que lorsqu'il est perdu. La transmission passe par là. ... Comme d'habitude Frédéric Lenoir nous emporte sur les chemins de la pensée sans qu'on y prenne garde. Être heureux, c’est être un imbécile. La jeune femme sortit de sa yourte et contempla le ciel étoile. Une nouvelle année s’ouvre devant nous, avec (au moins) 365 occasions de bâtir ensemble des solutions pour le monde de demain. Le livre est constitué de cinq tableaux illustrant le thème de la quête du sacré qui « en fin de compte, se lit plus dans un visage ou un paysage qu’à travers des mots. Et puis arrive l’adolescence, un moment qui est souvent difficile, parce que c’est le moment où l’on doit se dégager de ces traces, pour s’autonomiser. Donc quand on blesse un enfant aujourd’hui en le déterminant ainsi dans une forme d’échec, on me blesse ! On l’a d’ailleurs sur tout ! Ça commence par le bleu du ciel, le café ou le thé que l’on boit le matin, le vent que l’on ressent sur sa peau… Je pense que si on « conscientise » et on additionne tous ces petits plaisirs, on vit mieux, notamment les insatisfactions qui nous arrivent. Ça leur donne un optimisme à tout vent. F. L. : C’est pour ça que Spinoza nous dit que tout amour vrai, que toute joie profonde, sont éternels. Et je n’ai jamais ressenti le besoin, biologiquement, de me reproduire. Frédéric Lenoir, le quadrant Nord Ouest, nocturne, constitué des maisons 4 5 et 6, prédomine chez vous : il s'agit d'un secteur qui privilégie la création, la conception et l'approfondissement ou l'apprentissage dans un souci de service à autrui, en faisant la belle part au relationnel. On a effectivement perdu nos enracinements. L’être humain, en parlant, crée un monde de représentation… les animaux, eux, ont moins de choses à dire. Tous droits réservés. « L’imbécile heureux », c’est l’expression de Voltaire ! Mais j’ai travaillé autour de cet événement, et j’ai réussi à métamorphoser la représentation de ma mémoire. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. Il y a une sorte de paix, je dirais même de joie qui a accompagné la tristesse. Par les aliments, je souhaitais retrouver mes racines, que je connais mal, finalement. ), et puis, progressivement, j’ai compris que, peut-être, si j’en étais là, c’est aussi parce que j’ai eu ce père et cette mère qui m’ont permis de me poser ces questions, et puis surtout parce que j’ai eu de vrais secours dans la vie. C’est le grand défi de notre temps : trouver des spiritualités qui ne sont plus liées à un système collectif hérité, mais qui puissent nous donner en même temps un dispositif de sens qui nous permet d’avoir des raisons de vivre. Une « bonne heure », c’est vrai, de temps en temps, ça m’arrive. Comment affirmer cela quand on les voit hurler, se débattre, gesticuler ? J’irai alors puiser dans cette représentation de quoi m’aider, de quoi m’en sortir. Aujourd’hui, j’ai fait ce chemin et j’aime la vie telle qu’elle est, avec ses hauts et ses bas, avec son lot de joies et de tristesses. « Comment la méditation constitue un jeûne de l'esprit ? Il y a plein de petites choses, chaque jour. Frédéric Lenoir : J’ai beaucoup d’estime et d’admiration pour Boris Cyrulnik. Un jour, une jeune prof s’est approchée de moi, je lui dis : « Si je le fends, il va souffrir ! Ma mère, quant à elle, était certainement aimante, mais elle ne le manifestait pas du tout, parce qu’elle avait reçu une éducation catholique extrêmement stricte, dans laquelle il ne fallait ni toucher ses enfants ni leur dire qu’on les aimait. J’ai trouvé une paix profonde en moi, je voudrais que les autres le puissent aussi. Ce sont comme des traces, des cicatrices. La lumière revenue, je découvre mon dessin : un côté du corps est complète- ment atrophié et l’autre amplifié. Mais c'est sans compter sur le talent de Frédéric Lenoir, car une fois passé ce premier ressenti, j'ai été happée par le propos et j'ai aimé fortement ce texte. Mais pour poursuivre cette question littéraire, c’est vrai qu’il y a une tradition intellectuelle française, depuis le XIXe siècle – je dirais de Flaubert, voire de Voltaire, à Luc Ferry – qui considère que le bonheur est quelque chose d’idiot. Le bonheur selon les Grecs n’était pas comme notre bonheur à nous. Et là aussi, c’est un progrès : on a besoin de spiritualité. Nos sociétés sont aussi celles des machines et des nouvelles technologies, qui sont partout autour de nous, mais qui n’offrent pas, ou peu de relations sociales. En revanche, si on sécurise la mère, et qu’on l’entoure, l’enfant aura une meilleure probabilité d’être heureux. F. L. : Je vais vous dire pourquoi je parle du bonheur… c’est parce que j’étais malheureux ! J’ai donc eu une ambition forte, mais je me tirais une balle dans le pied dès que je commençais à réussir. Parce qu’il m’éclaire sur une manière sombre de regarder l’humanité. À partir de 1996, il collabore à L'Express et tient une chronique dans Psychologies magazine avant de prendre, en 2004, la direction du magazine Le Monde des religions, un bimestriel édité par Malesherbes Publications, filiale du groupe La Vie-Le Monde. Il s'imprègne alors des écrits présocratiques, d'Épicure, des stoïciens, d'Aristote avant de se tourner vers l'Orient grâce aux livres d'Arnaud Desjardins et un voyage en Inde chez les bouddhistes tibétains[7]. B. C. : J’ai un problème avec ce concept de bonheur. Alors que si on a eu une enfance sécurisante, on souffre, mais on sait qu’on va rebondir, car petit à petit se fait cette représentation du « je vais m’en sortir ». Et cette image d’ambivalence – quelqu’un qui voulait me tuer, mais qui venait me parler gentiment – m’a beaucoup protégé. Mais je voudrais situer le problème de manière plus sociologique. Je l’ai expérimenté. debout, hébété. J’ai réalisé ce rêve fou. Jamais je n’aurais pensé qu’on pouvait dire que six millions de morts, que ma famille… que tout cela n’était pas vrai. Dès l’instant où il a connu l’issue de sa maladie, sa mère l’a sécurisé. Auteur d’une cinquantaine d’ouvrages vendus à plus de 7 millions d’exemplaires dans le monde, Frédéric Lenoir nous livre un roman profond et émouvant, dans la veine initiatique de L’Oracle della Luna ou de L’Âme du monde. Le Choix de l’école : contribuer à la valorisation du métier d'enseignant. Parce qu’à 50 ans, ils ont résolu en grande partie leurs problèmes, ils vont beaucoup mieux avec eux-mêmes et avec les autres. 35 ans que Frédéric Lenoir pratique la méditation. » Mais cette ouverture sur la spiritualité, qui donne cette confiance aux Américains, je me demande si ce n’est pas aussi un risque de totalitarisme : c’est-à-dire qu’il n’y a qu’une seule manière d’être humain, c’est la leur, et tous ceux qui ne pensent pas comme eux ne sont pas de vrais êtres humains. ●. Actuellement, en discutant avec vous, je suis en train de vivre une « bonne heure », et on va faire en sorte que ça dure. Ce n’est pas une vue de l’esprit, les neurosciences le confirment maintenant. Select from premium Frederic Lenoir of the highest quality. F. L. : Je pense que j’étais en colère contre la vie pendant très longtemps (pourquoi ce père, pourquoi cette mère, pourquoi cette souffrance ? Mais vouloir s’anesthésier en remplaçant la lucidité par le rêve de bien-être me paraît malhonnête et dangereux, comment faire pour en améliorer la rédaction, École des hautes études en sciences sociales, Prix Europe de l'Association des écrivains de langue française, L'épopée des Tibétains, entre mythe et réalité par Laurent Deshayes, Frédéric Lenoir, Livres : Frédéric Lenoir fait de Spinoza une superstar, http://www.lelivresurlaplace.fr/prix-decernes/prix-livre-et-droits-de-lhomme-de-la-ville-de-nancy/, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Frédéric_Lenoir&oldid=176562283, Personnalité masculine française de la radio, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des bases relatives à la recherche, Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés, Portail:Littérature française ou francophone/Articles liés, Portail:Littérature française/Articles liés, Portail:Religions et croyances/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, Portail:Biographie/Articles liés/Sciences, Portail:Biographie/Articles liés/Entreprises, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Cofondateur de l'association « Environnement sans frontières », il est fortement engagé dans la cause écologique et écrit avec l'astrophysicien, En mai 2017, il crée l'Association « Ensemble pour les Animaux », Il est aussi le parrain de l'association pionnière dans le logement intergénérationnel, Cofondateur en septembre 2016, avec Martine Roussel-Adam, de la. C’était normal qu’on me tue, puisqu’autour de moi, c’était ainsi. Frédéric Lenoir est un écrivain, philosophe et conférencier français né à Madagascar en 1962. Elle avait aussi subi la perte intra-utérine de ma sœur jumelle, et donc avait eu une grossesse très difficile, qui avait été précédée par une fausse couche. Même dans les pires situations, j’ai tendance à penser que l’on me veut du bien. Si vous avez aimé « l’alchimiste » de Paulo Coelho, ce livre initiatique de Frédéric Lenoir vous enchantera. Mais je travaille en éthologie avec des vétérinaires qui me disent que les chiens humanisés, c’est-à-dire les chiens avec qui on vit tous les jours, comprennent 150 à 200 mots.
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